8 Mai 2007
JE T’ECRIS CE POÈME
Pour plus que tu n’es peur.
Je t’écris ce poème
Pour plus que tu ne pleures.
J’écris ce poème
Pour ces petits bonheurs.
Te dire, combien je t’aime !
Sans en avoir peur.
Un bisou dans le cou
Pour que ce soit plus doux.
Ta main dans mes cheveux
Et je ferme les yeux.
Ton corps contre mon corps,
Il n’y a plus d’ailleurs.
Je t’aime !
Comme il n’est pas possible de le dire.
Je t’aime !
Comme il n’est pas possible de l’écrire.
Si l’amour est une drogue.
Je veux que tu sois ma dose.
Si l’amour est une drogue.
Je veux mourir d’overdose.
Je veux devenir aveugle
Si l’amour est ainsi.
Je veux que le soleil cogne
Qu’il me brûle si je trahis,
Ces paroles que je te donne
En cadeau aujourd’hui.
Et que tu me pardonnes
Celles que je ne t’ai pas écrites.
Je parlerai aux étoiles
Qu’elles ne brillent que pour toi,
Et même dans la grisaille,
Toi seule ! Tu les verras.
Je ferai de toi, une toile
Où l’on représentera
Cette fleur des montagnes
Aussi rare que toi.
Tu as dans les yeux
Une forêt d’automne,
Sous un ciel merveilleux
Quand le soleil se donne.
Tes cheveux tourbillonnent
Comme les feuilles en septembre
Et forment une farandole,
Un ballet, une danse.
Il y a cette étincelle,
Ce sourire sur tes lèvres,
Qui fait que je t’aime,
Sans jamais une trêve.
Mais ne construit pas des murs
En me jetant des mots.
Ne me fais pas des tortures,
Plus dure que celles de la peau.
Et même si notre amour est comme celui des dieux.
Tu sais ! ceux qui se battaient pour ne s’aimer que mieux.
Même si notre amour fait des envieux.
La jalousie emporte, mais ne donne peu.
Et même si cette histoire
N’est jamais qu’une image.
Et même si cette histoire
N’est jamais qu’une page.
Laisses moi l’espoir
De s’aimer au plus tard.
Pouvoir te dire : je t’aime !
Même quand la vie sera ciel.